Bon, alors là, c’est le moment où on sort les violons pour jouer My Heart Will Go On version géopolitique, parce que le Titanic américain de la suprématie logicielle… eh bien, disons qu’il a vu un iceberg qui s’appelle « Chine » et que, spoiler alert, ça va pas bien finir pour Jack… euh, pour l’Oncle Sam 
Vous savez, c’est un peu comme quand votre ex vous largue et qu’après, par dépit, vous vous mettez à apprendre la guitare et que finalement vous devenez meilleur musicien qu’eux. Sauf que là, c’est avec des systèmes d’exploitation et que l’ex en question, c’est l’Amérique qui arrête pas de claquer la porte au nez des Chinois 
À force de jouer les gros bras avec leurs interdictions technologiques à répétition (genre « non, tu peux pas jouer avec nos jouets ! »), les États-Unis ont réussi l’exploit de créer leur pire cauchemar : un concurrent motivé 
C’est un peu comme interdire à votre petit frère d’utiliser votre PlayStation, et découvrir six mois plus tard qu’il a monté sa propre boîte de jeux vidéo…
Et puis paf ! 
Janvier 2025, Trump débarque (encore), et là c’est le festival de l’escalade. Les Chinois se sont dit « bon, maintenant on a vraiment compris le message, vous voulez plus de nous ? Parfait, on va vous montrer ce qu’on sait faire quand on s’y met sérieusement ! »
C’est parti comme une fusée Falcon Heavy, sauf que cette fois c’est pas Elon qui est aux commandes, et personne - PERSONNE - pourra les arrêter maintenant 
Même pas Chuck Norris avec une connexion Internet de qualité…
L’ironie, c’est que les États-Unis viennent de réussir le tour de force de transformer leur meilleur client en leur plus redoutable concurrent. Bravo les artistes ! 
Alors là, la Chine avec Huawei, ils ont dit « stop, on en a marre d’être les gentils qui dépendent de papa-maman Occident » 
Ils veulent faire leur petite révolution tech perso, genre « nous aussi on sait faire des trucs qui marchent, na ! » 
Du coup, à cause des sanctions américaines 
(ah, ces histoires de géopolitique, ça me rappelle quand mon frangin voulait plus me prêter sa console), ils se sont dit : « Et si on créait notre propre système ? » 
Et paf ! 
Harmony OS est né ! Leur bébé numérique qui peut tourner sur absolument TOUT : du petit téléphone de mamie 
aux monstres supercalculateurs IA 
(franchement, moi qui galère déjà avec ma cafetière connectée…).
L’idée ? Un écosystème tellement fluide et connecté que même votre grille-pain pourrait discuter avec votre frigo 
(bon, après, est-ce qu’on a vraiment besoin que nos appareils papotent entre eux ? Mystère…).
Niveau performances, ils balancent des chiffres qui donnent le tournis : 
32% plus rapide que Windows 11 (impressionnant, mais est-ce qu’ils comptent le temps de démarrage de Paint ?), moins gourmand en mémoire 
, et une latence de moins de 50ms 
(plus rapide que moi quand j’entends l’ouverture d’un paquet de chips).
Et côté sécurité 
, selon leurs tests (chinois, hein, on reste entre nous), c’est du béton armé !
Résultat des courses : Huawei a complètement viré Windows et Android de ses nouveaux PC 
, comme qui dirait « on fait table rase du passé et on repart à zéro » 
Bref, ils veulent créer leur propre ère numérique à la sauce chinoise ! 
