La Dictature Invisible de la Beauté 
Dès nos premiers pas dans ce monde, une idée s’infiltre dans nos esprits comme un virus sournois : être beau = réussir mieux !
Sur Insta, la beauté n’est plus juste un atout, c’est carrément devenu un métier !
Les influenceurs transforment leurs visages parfaits en distributeurs automatiques de billets. Pose, sourire, filtre, KA-CHING !
Kim K et Kendall nous le rappellent quotidiennement : un joli minois peut peser plus lourd qu’un master avec mention ! Leur message est aussi subtil qu’un klaxon à 5h du matin : « Pour cartonner, faut d’abord être canon ! »
Dans la jungle professionnelle, le « beauty privilege » n’est pas une légende urbaine ! 74% des cadres l’avouent : l’apparence, c’est crucial !
Les économistes ont fait les calculs : un visage agréable = jusqu’à 30% de salaire en plus ! C’est littéralement être payé pour avoir gagné à la loterie génétique !
Nos cerveaux de primates évoluent lentement : une belle apparence nous dit « cette personne est fiable, intelligente, compétente » alors qu’elle a peut-être juste eu de la chance avec ses chromosomes !
Mais attention ! Trop belle peut aussi devenir un problème (surtout pour les femmes). « Elle est trop jolie pour être intelligente » ou « elle fait peur aux autres », le paradoxe beauté dans toute sa splendeur !
Malgré les mouvements body positive qui tentent de changer la donne, nos biais restent collés à nous comme un chewing-gum sous une chaussure en pleine canicule.
Franchement, entre nous, c’est pas un peu absurde cette histoire ? On se retrouve à juger des compétences sur des critères dignes d’un concours de miss !
Et vous, combien de fois avez-vous senti ce « beauty bias » jouer en votre faveur ou contre vous ? La vie est une scène, et certains ont simplement de meilleurs costumes dès le départ !