Bonjour,
Le « cloud », ou le nuage de données exploitées par Internet, vous en avez entendu parlé, et les éditeurs de logiciels sont tous passés au cloud, Autodesk® par exemple avec sa plateforme BIM360.
C’est fantastique, cela permet de rassembler les données communes au même endroit, donc d’éviter les doublons, de travailler sur les mêmes données, d’assurer un stockage et un archivage à l’abri des infrastructures locales couteuses.
Mais… car il y a un mais que l’on entend quasi inévitablement quand on parle de cloud, pour accéder à ces données, il faut un accès Internet, et de bonne qualité (débit et fiabilité).
Si vous êtes confortablement assis à votre bureau dans une ville française par exemple, pas trop de problème, vous aurez sans doute la fibre ou du moins un accès tout à fait suffisant. Mais sorti des villes, sur un chantier, vous devrez compter sur un accès 4G (peut-être bientôt 5G?) ou vous connecter à un point Wifi s’il y en a un. En fait, si vous considérez la surface terrestre, les endroits où vous pourrez vous connecter à Internet sont peu nombreux.
C’est là qu’intervient la technologie des satellites en orbite basse comme le projet Starlink. Mais il n’est pas le seul, OneWeb, Kuiper… C’est une véritable course à l’accès Internet universel à laquelle nous assistons depuis quelques années.
Les premières salves de satellites ont été lancées et les premières utilisation commerciales vont arriver, c’est pour très bientôt… En 2020, 2021, il est possible que vous puissiez vous connecter à Internet depuis n’importe quel point du Globe…
Alors donc, voici venir le cloud sans limites, celui qui fera tomber la dernière objection au virage « tout cloud » pris par tous les grands éditeurs de logiciels.