Fin 2020, au Royaume-Uni, le 3 octobre, il pleut 32 mm (1,24 pouces) en une seule journée , assez pour remplir le mythique Loch Ness ! Ce lac contient d’ailleurs plus d’eau que tous les lacs d’Angleterre réunis… oui, c’est énorme !
Mais le vrai scandale éclate le lendemain . Alors que tout le pays suit de près les chiffres du COVID-19 , on découvre qu’environ 16 000 cas ont été oubliés des statistiques officielles . Ces cas manquants ont complètement changé la perception de l’épidémie, passant d’une situation « sous contrôle » à une catastrophe grandissante .
Le pire ? Ces 16 000 personnes n’ont pas été alertées à temps et ont probablement continué à propager le virus sans le savoir . Deux économistes ont même estimé que cela pourrait avoir causé 125 000 contaminations supplémentaires et 1 500 morts.
Le coupable ? EXCEL ! Ou plutôt, une vieille version utilisée par l’Agence de Santé Publique anglaise. Le fichier Excel avait atteint sa limite de lignes (seulement 65 000 à l’époque) et personne ne s’en est rendu compte avant qu’il ne soit trop tard.
Leçons à retenir ?
Connaître les limites de ses outils, toujours ! Même les plus familiers comme Excel peuvent nous jouer de mauvais tours.
Mettre à jour ses logiciels et son matériel régulièrement pour éviter de telles catastrophes.
En bref, c’est une histoire qui aurait pu être évitée avec un peu plus de vigilance, mais elle nous rappelle l’importance d’utiliser des outils adaptés, surtout en science et en statistiques !